Élisabeth Chauvin
Écrivain public - Biographe - Correctrice
Nantes et Loire-Atlantique

Dans un proche avenir, le partage de la mer, qui a déjà commencé de façon progressive et continue, va s'intensifier. De nouvelles activités maritimes vont apparaître le long de notre littoral. L'une d'elles, l'éolien offshore, posé et flottant, est appelée à connaître un fort développement à court terme.
Une planification de l'espace maritime va être mise en place prochainement au niveau national puis européen. Les marins pêcheurs, premiers concernés, devront participer aux négociations préalables à cette planification et obtenir de solides garanties, et cela sur le long terme, pour l'exercice de leur profession.
Michel Adrien observe depuis de nombreuses décennies la prolifération et l'intensification de ces nouvelles activités maritimes. Pour mieux comprendre les enjeux de la situation, il lui a paru essentiel de faire le point sur cette réalité qui soulève de nombreuses questions, en particulier dans le monde professionnel de la pêche. Réalité pourtant incontournable, car pour l'auteur elle va dans le sens de l'histoire.
Michel Adrien est né à Noirmoutier. Mousse à 14 ans, il devient patron de son propre bateau à 23 ans avant de bâtir un empire de pêche reconnu dans le monde entier. Retiré des affaires, humaniste et bienveillant, il devient écrivain, une fois de plus avec succès. « Les marins pêcheurs face aux éoliennes en mer » est son quatrième ouvrage.

Loin du discours du pire, la démonstration du meilleur est à venir. Face aux conséquences de plus en plus visibles du réchauffement climatique, l'humanité se trouve face à un choix : soit elle continue de brûler sans retenue pétrole, gaz et charbon en épuisant la Terre et en la rendant bientôt invivable ; soit elle décide de capter l'énergie venue d'ailleurs, en l'occurrence du Soleil et du vent qu'il génère. Maintenant, nous savons le faire.
Si la prise de conscience d'agir nécessite un électrochoc, se désespérer de la situation nous détourne de la fascinante perspective qui s'ouvre devant nous.
Marin, entrepreneur et visionnaire, Michel Adrien a très tôt compris que les ressources de la planète étaient limitées. Il nous embarque aujourd'hui dans son nouveau livre vers un horizon résolument et objectivement optimiste. Il argumente et explique clairement comment capter les énergies renouvelables grâce aux spectaculaires progrès réalisés dans ce domaine, et pointe les formidables opportunités de « croissance verte » pour la France et pour l'Europe.
Avec détermination et confiance, l'auteur démontre que les nouvelles technologies permettront à l'humanité de limiter le réchauffement climatique et d'atteindre la neutralité carbone en 2050/2060 pour remporter la Victoire Climatique.
Michel Adrien est né à Noirmoutier. Mousse à quatorze ans, il devient patron de son propre bateau à vingt-trois ans avant de bâtir un empire de pêche reconnu dans le monde entier. Retiré des affaires, humaniste et bienveillant, il devient écrivain, une fois de plus avec succès. La Victoire Climatique est son troisième ouvrage, un essai au message exaltant et inspirant pour toutes les générations.

Parler du socialisme et du communisme n'est pas chose facile, même dans le contexte d'aujourd'hui. L'auteur nous présente son travail minutieux de recherche et d'enquête sur l'une des tragédies du XXe siècle. Il passe en revue les différents régimes totalitaires soviétiques. Il s'agit d'un récit documentaire très détaillé avec une certaine forme d'humour, par moment, alors que personne, quelle que soit sa place dans l'échelle sociale ou politique n'était à l'abri d'un soupçon, d'une arrestation ou d'une déportation. La peur et la répression étaient des armes particulièrement efficaces dans les mains du pouvoir. L'Ouest n'a pas manqué d'être touché par tout cela.
Ce regard lucide, documenté, maintenant que le temps a passé, mérite que l'on prenne le temps de s'y arrêter, la qualité de l'écrit le justifie amplement.

Originaire du Sud de la France, né en 1934, l'auteur partage son temps libre entre la lecture, l'écriture, de grandes randonnées à pied et à vélo avec son épouse, Monique. Il trouve son inspiration à la « maison des Abeilles », petit paradis situé à quelques kilomètres de Châteaubriant où il réside.

PREFACE
Habiter vraiment un lieu, c’est toujours être habité par lui. Cet ouvrage de Michel Tual en témoigne, dans un chassé-croisé de textes et de peintures où se mêlent souvenirs d’enfance, connaissance du milieu et regard affûté par un travail sur le motif.
Mais qu’on ne s’attende pas à trouver ici une ode à l’enracinement quand le « lieu » d’ancrage de l’auteur n’est autre qu’un estuaire, espace mouvant modelé au gré des vents, des marées et des crues ! Et qui plus est, quand il s’agit de l’« Estuaire », de cette entaille ouverte entre Sillon de Bretagne et Coteaux de Retz, de cette Loire maritime qui, entre Nantes et Saint-Nazaire, invite au voyage et au rêve plus qu’à un repli frileux dans la moite intimité d’un terroir.
Qu’on ne s’attende pas davantage à y trouver la célébration d’une nature mythifiée, dans l’oubli des activités humaines passées et présentes qui l’ont façonnée. Tubulures et cheminées des sites industriels, quais et engins de levage, chantiers navals et anciens ports de Loire où la rouille est souveraine figurent en bonne place aux côtés des îles, marais, étiers et roselières, comme les deux volets d’un même récit ici réunis sous le regard de l’artiste.
Empruntons cet itinéraire de grand vent et découvrons ces Terres d’Estuaire où le peintre a bravé les intempéries et traversé les saisons pour installer son chevalet. Laissons-nous dépayser par cette échappée belle, par ces paysages où le plus proche entre en résonance avec le plus lointain. Apprenons à habiter l’Estuaire, ce seuil entre nord et sud-Loire et cette porte largement ouverte sur le monde.

André Péron, auteur d’ouvrages sur Nantes.

SUR LE MOTIF
Depuis mon enfance, la Loire irrigue mon imaginaire. Je lui dois toutes les caches de mon adolescence, dans les moindres replis des marais. Ses rivages sont devenus les terres d’aventure de mes observations animalières. Je m’étais promis, à 50 ans, de lui rendre hommage par la production d’un reportage pictural, à commencer par les chantiers navals que j’ai fréquentés professionnellement. Aussi, depuis quelques années, je lui consacre mon temps libre. Je me suis approprié ses lieux désaffectés, ses rives sauvages, ses quais industrialisés avant qu’ils ne ferment. J’y ai emmené mon matériel léger, chevalet, valises pleines de gouaches et pinceaux, d’acryliques et d’huiles. Je n’avais plus qu’à choisir où m’installer, où me dissimuler. Dans ces espaces naturels et industriels, j’ai vécu des séances de travail en symbiose totale avec l’esprit de liberté qui m’habitait. J’ai constitué ce parcours d’étape en étape et vous le livre en partant de Saint-Nazaire, au nord du fleuve, pour rejoindre Nantes, avec un retour par les rives sud, jusqu’à Saint-Michel-Chef-Chef. Ces terres d’estuaires sont devenues le laboratoire de mes enchantements.

L’énergie humaine est grande, et chacun à son niveau peut agir, pour changer et améliorer sa vie. Il est certain que si nous laissons faire nos dirigeants politiques, leurs Rustines élimées, maintes fois réutilisées, ne nous aideront pas. Le constat est dramatique : l’obésité augmente partout dans le monde ; les dirigeants se montrent incompétents, déconnectés de la réalité ; les industriels envoient des armées de lobbyistes prêts à tout pour influencer les décisions politiques. Bilan : l’obésité progresse à grands pas et la qualité des aliments se dégrade à la même vitesse. Peut-être le temps de se réveiller est-il arrivé ? Certains prônent la révolte, d’autres la responsabilité citoyenne ; l’objectif est le même. Si les moyens diffèrent, l’idée de la nécessité du changement demeure. Commençons par nous dire que nous existons d’abord pour nous, que nous pouvons prendre soin de nous, que nous le méritons. Le surpoids n’est pas une fatalité. Le problème est complexe, mais pas insoluble. C’est pourquoi je vous propose, en lisant cet ouvrage, de m’accompagner dans cette analyse de la situation présente et des solutions réelles et durables qui s’offrent à nous.

À propos de l’auteur
Certains se demanderont quelle place un dermatologue peut bien avoir dans la prise en charge du surpoids. À première vue, aucune. En fait, ma formation ne s’est pas limitée à la dermatologie. J’ai également suivi une formation scientifique en allergologie, immunologie et biologie cellulaire, puis une formation en pédagogie médicale et éducation thérapeutique.
J’interviens en outre depuis vingt ans dans le cadre d’une consultation de prise en charge des maladies sévères de la peau où j’anime, avec une psychologue et une infirmière, des ateliers collectifs de patients. Dans ces maladies, l’environnement joue un rôle majeur, car le mode de vie peut soit aggraver soit améliorer ces pathologies. De ce fait, l’alimentation, le stress, l’activité physique sont autant de points sur lesquels je travaille depuis toutes ces années.
Je travaille de façon plus récente avec une équipe pluridisciplinaire qui s’occupe de la prise en charge du syndrome des ovaires polykystiques. Comme nous le voyons dans ce livre, cette maladie est fortement associée à un surpoids. L’approche que je défends dans cette maladie est globale et basée sur la capacité à changer, et pas uniquement au niveau alimentaire. Et j’ai notamment découvert le rôle primordial de l’environnement sur la sévérité et l’expression de cette maladie ovarienne.
Les outils dont je dispose depuis longtemps, et que je ne cesse de faire évoluer, ont donc naturellement trouvé leur place dans la prise en charge multiprofessionnelle du surpoids.

« La vie se nourrit d’anecdotes, l’histoire les digère. »
C’est peut-être l’objet de ce livre conçu hors de son époque et pourtant tellement poignant par la qualité de sa présence.
Ce livre vous regarde par ses portraits, vous invite à entrer dans les maisons par ses intérieurs, vous ménage des flâneries, posés dos au soleil nuancé d’ombres chaleureuses teintées de bienveillance.
Ce livre est une terre, un pays, une alliance, un visage à découvert.
C’est l’objet d’une vie parcourue sans relâche à témoigner du sens gravé sur les visages, sur les murs ou dans les paysages, tout ce patrimoine qui chante la Vendée.
« On peint comme on chante », disait André Astoul.
C’est ce que vous proposent à travers cet ouvrage Olivier Goarant, son petit-fils, et l’écrivain Michel Gautier qui, avec la collaboration de l’Association des Amis du peintre André Astoul, ont su simplement, avec cœur et sagesse, nous exposer l’œuvre bien vivante d’André Astoul, peintre en son temps.
Antoine Ravez

Olivier Goarant
Après huit années passées dans le secteur social, Olivier Goarant, petit-fils du peintre André Astoul, s’oriente vers l’animation avec un inventaire des besoins culturels dans le Sud-Deux-Sèvres, pour le compte du Fonds interministériel de développement et d’aménagement rural. Une nouvelle orientation dans l’enseignement de l’audiovisuel le conduit à travailler dans les milieux artistiques et culturels avec la réalisation de documents pédagogiques.

Michel Gautier, né en Vendée, est docteur en littérature française et professeur honoraire de lettres classiques. Il a été président de l’UPCP (1989-1991) et du Conseil de surveillance de Geste éditions (1992-2003). Il représente les langues d’oïl à la coordination nationale EBLUL France dont il est vice-président. Il est responsable des collections « Parlanjhe » et « Témoignages » à Geste éditions. Il a publié une vingtaine d’ouvrages sur la langue régionale et la mémoire populaire.

« Va, quitte ton pays, va vers toi-même,
Laisse là ta vieille vie, ton moi chéri.
Retourne à Assise, laisse l'Esprit Saint agir en toi.
Et homme nouveau tu deviendras. »

C'est dans ce même esprit que Dieu s'est adressé à Abraham lorsqu'Il l'a appelé à quitter son pays pour aller vers la Terre promise. François aussi, bien des siècles plus tard, a répondu à l'appel de Dieu et s'est mis en route à travers les sentiers de la Toscane et de la Lombardie pour aller à la rencontre des hommes.
Suite à la création d'un chemin d'Assise en 2006, les petites sœurs de saint François d'Angers nous ont invités, mon mari et moi – tous deux laïcs franciscains – à suivre l'exemple de ces deux hommes. En compagnie de quatre d'entre elles, nous avons osé partir, nous avons osé nous mettre en chemin vers cette belle petite ville médiévale, lumineuse et chaleureuse où naquit, vécut et mourut François, ce grand témoin de fraternité universelle. Nous réaliserons ce pèlerinage en trois étapes et sur trois années : 2007, 2008 et 2009.
Chaque soir, j'ai rédigé quelques notes sur ce que nous avions vécu ensemble dans la journée, notes que je présente dans cet ouvrage. Alors, si vous êtes prêts vous aussi, si le cœur vous en dit, je vous invite à mon tour sur les pas de François.

Parcours de celui qui fut le dernier aumônier du bagne de Saint-Martin-de-Ré
* La guerre de 14-18 : présentation de près de trois cents photos du conflit, commentées par
l'auteur
* L’artiste : présentation de plusieurs toiles de l'abbé Picaud, commentées par l'auteur
* L’aumônier du bagne : extrait d’une conférence donnée par Jean Picaud

Extrait

Jean Picaud est arrivé à Bouin à la fin de 1948 ou au tout début de 1949. Moi, à ce moment-là, j'allais sur mes 11 ans. Aussitôt, nous fûmes nombreux à fréquenter ce curé qui nous faisait faire des dessins, de la peinture, enfin, tout un tas de choses qui touchent de près ou de loin à la culture. Ce qui était pour nous autres autant de découvertes. Et puis, il y avait ces photos sur plaques de verre, relatant des événements de cette drôle de guerre que fut celle de 14-18. Nous pouvions les visionner comme bon nous semblait, et à tout moment de la journée. C'est pourquoi je me suis souvent demandé ce qu'elles pouvaient bien être devenues. À la fin, j'ai fini par penser à ses héritiers testamentaires que je me suis empressé d'aller voir. Effectivement, les 12 boîtes et les 280 plaques que comporte la collection étaient toujours en leur possession. Je leur ai demandé si je pouvais éventuellement les scanner et en faire une publication en rendant hommage à cette personnalité qu'avait été Jean Picaud. Acceptation avec joie et sans problème. Mon fils a numérisé les plaques, et moi j'ai écrit les commentaires.

Maintenant : c'est à vous de juger !
L'auteur

Arrière-petit-cousin de Jean Bart, descendant direct de la famille des grands corsaires que furent Michel et Jean Jacobsen, vous allez accompagner Charles durant toute sa carrière.
Commencée sous Napoléon Ier, elle se poursuivit sous Louis XVIII et Charles X pour se terminer sous Louis-Philippe, servant son pays avec loyauté et fidélité.
Le récit de la traversée de Lorient à Pauillac et son carnet de signaux sont inédits et parlent mieux qu'un roman de la vie des marins à l'époque de la marine à voiles.

À l'issue de ses études au Lycée de garçons de Rennes, l'auteur, suivant l'exemple de ses frères aînés, s'engage pour une durée de cinq ans dans la Marine Nationale. Embarqué, il compte plus de 1 600 jours de service à la mer. En 1960, il participe, à terre, aux secours lors du tremblement de terre d'Agadir.
Cadre supérieur, spécialisé dans les asservissements hydroélectriques, il exerce son métier dans l'industrie métallurgique et mécanique. À la retraite dans l’île de Noirmoutier, il retrouve le milieu maritime. Président de l'Amicale de Marins AMMAC, Administrateur de la Fédération des Amicales de Marins Marins Anciens Combattants FAMMAC, titulaire de la Croix du Combattant et du Titre de Reconnaissance de la Nation, il est promu chevalier du Mérite Maritime.

Illustration de couverture, aquarelle de l'auteur : Enseigne et Lieutenant de vaisseau sous la Restauration